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Entre nous
23 mai 2021

Le Boss

Kadri

Vous connaissez cette charmante dame ?

Non ?

C'est Ilham Kadri, le Boss ! Y en a qui disent CEO, d'autres PDG, mais le Boss, je trouve ça plus évocateur.

Le Boss de quoi me direz-vous... eh bien le Boss actuel de la société où j'ai exercé mon dur labeur (mouarf !) tout au long de ma carrière : Solvay.

Voilà, la boucle est bouclée. En fait de diversité (elle préfère équité), on ne fait pas mieux : une femme, franco-marocaine (et réciproquement), à la tête d'un groupe chimique  de 23000 personnes à travers le monde. J'adore !

Elle est là depuis 2019 et ça craint, comme on dit aujourd'hui. Et si j'en parle aujourd'hui, c'est parce qu'il y a quelques jours, on l'interviewait sur Matin Première, une chaîne radio belge. C'est ici, mais ne traînez pas, je crains que le lien ne soit pas permanent (et je ne suis même pas certain qu'il soit accessible hors Belgique).

Je dis que la boucle est bouclée parce que pendant mes vingt premières années de boulot, le personnel des laboratoires était exclusivement masculin (en dehors de deux universitaires au département documentation et brevets, les filles n'étaient présentes que dans les secrétariats et à l'infirmerie si l'on peut qualifier Tante Yvonne de fille). Et puis, avec la loi anti-discrimination (et dieu sait si chez Solvay, la loi, c'est la loi), le virage s'est amorcé : des femmes ont commencé à apparaître un peu partout et à tous les niveaux, tandis que disparaissaient parallèlement les affiches de pinups ornant les locaux.

Aujourd'hui donc, même le boss est une femme, c'est pas trop tôt !

Mes vingt dernières années de "travail" sont passées comme un rêve : travailler avec des femmes, c'est le rêve ! Je l'ai répété souvent à mes collègues du sexe prétendu faible, même si j'avoue avoir parfois susurré à l'oreille de l'une ou l'autre : "Les cauchemars sont aussi des rêves..." mais c'était manière de rire : on m'avait engagé pour ça.


 

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17 mai 2021

Chefs-d'œuvre disparus

 
Sur son blog, l'Adrienne nous parle de lecture par Espagnol interposé.

Ça m'a rappelé que je ne suis toujours pas venu à bout des Frères Karamazov !

Faut dire qu'entretemps, j'ai lu le dernier Schmitt. Bon, je n'ai lu que le récit en sautant les notes de fins de chapitres qui, elles, contiennent, en caractères minuscules, l'histoire et, en l'occurrence dans "Paradis perdus", la préhistoire. Pour ces détails on m'a offert "Histoire du monde" de Roberts et  Westad.

Après cette parenthèse, revenons aux Karamazov. Avant eux, je n'imaginais même pas qu'on pouvait mettre la main sur encore plus chiant que Marcel, mais passons, ça me fait mal de l'avouer...

Ce qui m'a le plus frappé dans cette histoire russe c'est l'irruption régulière du samovar, un instrument peu utilisé chez nous mais pourtant lié à un de mes souvenirs...

Quand j'étais chef d'unité, une demoiselle, fille de connaissances, alors dans le secondaire, m'avait demandé si je pouvais l'aider pour un devoir de français. Aujourd'hui, elle est ministre fédérale, c'est vous dire si ça date...

Il s'agissait d'écrire un petit machin en alexandrins sur n'importe quel sujet.

Les alexandrins, douze pieds et une rime à trouver (évitez "belge", belge ne rime à rien, c'est bien connu), c'est facile : simple question de rythme et de vocabulaire, le plus dur, c'est la césure.

Je lui en ai pondu deux.

Le premier très réussi mais inutilisable (sauf à avoir le goût du risque) puisqu'il disait combien il faut être bête et sans cœur pour imposer à de pauvres enfants sans défense quand il fait si beau dehors une tâche aussi barbante que dénuée d'intérêt.

Le second était une fable dont je ne me rappelle que le titre : "Le lombric et le samovar", c'est celui-là qu'elle a utilisé.

Non, je ne les ai pas conservés, je vous l'ai dit : ils ont disparu !


14 avril 2021

Y a Madeleine et Madeleine

 
Finalement, je n'ai pas rencontré tellement de Madeleine dans mon existence (les deux dont je me souviens, c'était en Bretagne), en dehors de celle de Marcel qu'on me sert au moins une fois par jour dans des émissions diverses, télé ou radio diffusées.

Quel foin pour un souvenir de rien du tout, arrivé une fois dans la vie de l'illustre !

Ce genre de phénomène, j'ai ça tous les matins en beurrant consciencieusement (c'est-à-dire en insistant bien sur les bords) les toasts du petit-déjeuner de mon épouse : c'est le moment où je pense à ma deuxième fille (vous vous rappelez ma deuxième fille ?).

C'est qu'à l'aube de son mariage, son mari portugais lui avait montré comment beurrer soigneusement ses toasts, espérant sans doute se les voir servir tout prêts à l'avenir.

La réponse a été directe "Je n'oserais même pas imaginer arriver à la même perfection, continue à les beurrer toi-même, moi j'en prendrai deux !"

Qu'est-ce que t'en dis, Marcel ?


 

7 avril 2021

Moi et ma grande gueule (ter, minimum)

 
Lors d'une des versions précédentes de ce titre,  je vous parlais du broyage de graines de lin au moyen d'un mortier japonais. Je vous montre la chose :

P1090884

Le problème avec les photos (et tout particulièrement avec celles que je prends) c'est qu'on y voit rarement ce que l'on veut montrer.

En effet, je veux expliquer que l'efficacité du broyage est gênée par deux choses :

  • la longueur du pilon est un peu faible par rapport à la profondeur du mortier si bien que sa prise en main est difficile et produit des crampes lorsque l'on veut augmenter la pression
  • le fond du mortier est plat et l'extrémité du pilon arrondie, si bien que le seul endroit où la friction est efficace se situe au début de l'arrondi joignant la paroi du mortier à son fond et se produit essentiellement via une poussée latérale, ce qui n'arrange rien aux crispations génératrices de crampes

Bien sûr, comme annoncé, ces deux détails ne sont pas clairement visibles sur la photo.

Vous aurez vu dans l'article précédent que je regrettais le matériel dont je disposais dans mon labo de diffraction X. C'est que là, les mortiers et leurs pilons étaient en agate et que le creux d'un mortier et l'extrémité de son pilon présentaient des courbures se répondant parfaitement, augmentant la surface de contact et permettant à l'effort de s'appliquer verticalement sur le dit pilon d'où moins de crispations !

Ennui supplémentaire, l'intérieur des graines de lin est huileuse, si bien qu'au fur et à mesure du broyage, la matière grasse se colle sur la paroi du mortier et affaibli grandement l'efficacité du broyage.

Là aussi, nous avions un truc imparable au labo : de petits récipients cylindriques garnis intérieurement de carbure de tungstène ( le fameux widia du bout des mèches à béton) et contenant quelques billes du même matériau. Vous introduisiez la matière à broyer dans le cylindre en compagnie des billes, refermiez le couvercle et fixiez l'ensemble sur un petit mécanisme orbital secouant vigoureusement l'ensemble dans tous les sens. Là, plus question de crampes du tout !

Ouais mais le côté huileux, me ferez-vous remarquer, fort à propos.

Facile ! Vous répondrai-je sourire aux lèvres : il suffit d'ajouter au mélange une portion de "carboglace" (de l'anhydride carbonique à l'état solide) qui refroidit l'ensemble et durcit la matière grasse ce qui facilite son broyage !  En fin d'opération, la matière se réchauffe et le CO2 redevient gazeux.

Merveilleux non ? Voilà pourquoi je regrette ce labo (et je vous parle même pas de ma patronne).

Bon, c'est pas tout ça, j'ai de la graine de lin à piler...


28 janvier 2021

Jijé

 

Je sens que vous n'allez pas me croire, mais je suis né la même année que Don Bosco !

... L'album de Jijé bien sûr, pas son personnage principal.

Joseph Gillain, ce grand dessinateur, a accompagné toute mon enfance et mon adolescence.

Quand j'habitais encore Montignies-sur-Sambre, j'ai suivi avec passion la parution hebdomadaire dans le Journal de Spirou des épisodes de la vie de Baden Powell. Je me rappelle qu'on l'y voyait même jouer au polo en Inde  avec Winston Churchill (en spectateur, vous connaissez sa devise...).

Le Journal de Spirou, dénommé plus tard Spirou, je lui ai été fidèle jusque bien après mon mariage, je le préférais de loin au Journal de Tintin, la ligne claire, c'est pas trop mon truc et l'école Franquin et consorts à Marcinelle, c'est de ma région natale . Aujourd'hui, je le feuillète encore de temps à autre (Émilie y est abonnée) mais je n'aime pas trop les dessinateurs d'aujourd'hui.

Pour revenir à Jijé, il en a produit des BD ! En même temps que la biographie de B-P, il faisait paraître les aventures de Blondin et Cirage (devinez lequel est blanc et lequel est noir). Une de leurs aventures avait un titre qui ferait fureur aujourd'hui : "Le Nègre blanc". C'est lui aussi qui a dessiné Spirou et Fantasio après Rob Well et avant Franquin. Il  a créé Jean Valhardi et Jerry Spring et, chez Pilote dessiné Tanguy et Laverdure.

Bah, tout ça c'est du passé ! Qui dessine encore aujourd'hui ?

Bon, ben, la nostalgie c'est bien, mais faudrait peut-être vivre avec son temps, je crois que je vais me mettre à L'Arabe du Futur !

838_planche_sattouf


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26 janvier 2021

T'as connu Rosalie ?

 
J'allais dire "à mon réveil", mais comme j'en ai trois ou quatre par nuit, je dirai à mon lever, ce matin, une chanson me tournait dans la tête :

Je suis né pendant la deuxième guerre mondiale et pourtant, je connais encore par cœur à force de l'avoir entendue cette chanson qui date de la première ! Mieux, je me souvenais d'un couplet où il était question d'une "payse qui nous attend et que l'on épousera" qui ne figurait pas dans la version originale mais que j'ai fini par retrouver, un truc assez croquignolet.

Ensuite je me suis souvenu d'une chanson de Trenet qui s'inquiétait de ce qu'avait pu devenir cette Madelon.

Et le premier qui me fait remarquer que Madelon est un diminutif de Madeleine et me parle de Marcel et de ses souvenirs, je lui fais faire connaissance avec Rosalie et je le balance dans une tranchée pour faire un exemple !

5 janvier 2021

Tu veux ma photo ?

 
Sur le blog de joye (Iowagirl pour les anciens, mon Américaine préférée et, par ailleurs, la seule que je connaisse...), blog que je fréquente de temps à autre en y laissant moins souvent encore l'un ou l'autre commentaire, je découvre

  • une photo de ses hors-d'œuvres du dernier réveillon
  • le terme Panko

Merde ! (excusez-moi, c'est l'émotion) je ne savais rien du panko ! Ça m'a pourtant l'air bien intéressant cette panure japonaise, particulièrement pour réaliser de petits machins frits (je ne connaissais que la pâte à tempura). Bon, les petits machins frits, on n'en fait pas trop souvent, rapport à l'odeur de friture et à l'encrassement de l'huile du même nom. N'empêche dès cet après-midi, je ramène un sachet de panko de mes courses (si, si, on en trouve chez Colruyt, enfin dans leur catalogue, reste à voir dans les rayons...).

La photo, elle, me rappelle les réveillons de Noël que nous passons en famille dans la maison de notre fils parce qu'elle possède cinq chambres (ce qui règle le problème des retours tardifs) et est chauffée par des poêles à bois (le chauffage central, c'est pratique mais côté ambiance, ça fait plutôt frigidaire).

Bien sûr cette année, covid oblige, nous l'avons eu dans le baba et sans rhum encore ! Il ne nous reste que des souvenirs dont celui-ci, apparu dans la fameuse fenêtre du coin supérieur droit de mon écran :

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Ne vous inquiétez pas, les personnages ne s'isolaient pas dans des communications privées, ils communiaient dans la prise de vue du dessert-banquise du jour, vous vous rappelez ?


23 novembre 2020

Souvenirs, souvenirs

 
Ce matin, au moment de saisir le petit papillon du sachet de thé pour extraire ce dernier de ma tasse, une gouttelette de liquide se détache du fil.

Et me voilà replongé dans mon enfance : l'instituteur avait décidé de nous faire tester la germination de semences. Vous imaginez ça aujourd'hui ? Qui a encore des semences à la maison ?

Bref, mes condisciples et moi avions été priés d'amener une soucoupe, un petit flacon, un brin de laine et des semences de n'importe quel légume.

Il fallait découper  aux dimensions de nos soucoupes deux ronds de papier buvard (extrait des stocks de fournitures gratuites de l'enseignement national). On posait un des ronds sur la soucoupe, on y semait une pincée de graines et on recouvrait l'ensemble avec le second rond puis on humectait le tout.

Le petit flacon était rempli d'eau et le bout de laine avait une extrémité dans le récipient et l'autre qui pendait à l'extérieur au dessus de la soucoupe, ce qui faisait de l'assemblage une nourrice. Le débit de celle-ci était réglé en ajustant la longueur de la partie du bout de laine débordant du récipient. Cela visait à éviter que la "culture" se dessèche, particulièrement lors de notre absence le dimanche (Eh oui, nous avions encore classe le samedi !).

Ma mémoire faiblit car si je me rappelle que mon récipient était un ancien pot de colle à base de gomme arabique (cette colle qui se transformait en écailles avec le temps et laissait se détacher l'image de son support), je ne parviens pas à me souvenir de la couleur du brin de laine.

Après plusieurs jours, les graines se mettaient à germer et on établissait chacun notre pourcentage de germination. Comme je n'étais pas con à l'époque, j'avais anticipé le mouvement et j'avais disposé dix des (grosses) graines de mâche (Valerianella locusta) fournies par mon paternel : c'est plus facile de trans former des pour dix en pour cent que des pour dix-sept ou vingt-trois n'est-ce pas !

Le calcul a été d'autant plus simple qu'aucune de mes graines n'avait germé : mon père, en bon adversaire du gaspillage, m'avait fourni un vieux sachet oublié depuis des années.

Les instits étaient quand même inventifs à l'époque, même si il y aurait beaucoup à dire sur l'opération de tirer des pourcentages à partir de quelques graines. Mais bon, le calcul d'erreur n'était pas au programme (enfin, je crois...).


27 septembre 2020

De fil en aiguille

 
Dans la petite fenêtre qui exhibe toutes les dix secondes une photo puisée dans le stock de mon ordinateur apparaît une vue que je ne parviens pas à identifier (ce qui est assez rare, j'ai une bonne mémoire visuelle).

Pour m'aider dans cette identification, je clique sur la petite icône qui permet de charger l'image (et celles l'accompagnant dans son dossier) dans le programme d'affichage ad hoc. En faisant défiler quelques images voisines, je comprends enfin qu'il s'agissait de l'entrée (moderne) de l'hôtel du golf à Cáceres.

Tant qu'à perdre mon temps, je continue à explorer le dossier en question et je tombe sur cette image :

P1050302

Saint Georges et son dragon ! Nonante-neuf fois chers à mon neveu Joe.

Je me balade alors un peu sur le net pour voir si un photographe plus doué que moi n'a pas immortalisé la chose de façon plus convaincante.

Et c'est au cours de cette promenade que j'apprends que Saint Georges est précisément le patron de la ville de Cáceres qui le fête chaque année au cours de la semaine du 23 avril. Et que lors de cette fête a lieu une représentation du combat du saint contre sa bestiole.

Des concurrents du Doudou de Mons, dis donc ! Et apparemment très convaincants de surcroît...

caceres

C'est alors que je me suis rappelé que (Lord Robert Stephenson Smyth) Baden-Powell (of Gilwell) avait consacré le brave Georges patron du scoutisme, si si, comme je vous le dis, d'ailleurs, on le voit très bien ici :

BP

Et dire que je m'étais installé à mon poste de "travail" (mouarf !) pour vous parler de Yoga !

Non, je ne pratique pas ! C'est le titre du dernier opus d'Emmanuel Carrère.


21 septembre 2020

Pèlerinage

 
Hier, dans mon patelin, c'était dimanche sans voitures, un truc qui ne sert strictement à rien sauf à voir déferler sur la capitale des pelotons (j'allais dire troupeaux) serrés de cyclistes flamands en grande tenue de Tour de France.

Quand le dimanche n'est pas "sans voitures", je n'utilise la mienne que pour aller chez le boulanger (non, je ne peux pas y aller en vélo : on me l'a volé mon vélo) et pomener le chien. Mais quand on m'interdit de rouler en voiture chez moi, ben, je vais rouler ailleurs !

Donc, chaque année, mon épouse et moi allons rendre visite à Claire et Edgard dans leur restaurant de Saint-Vith, si bien que nous aurions pu nous retrouver en même temps que l'Adrienne dans les Cantons de l'Est. Comme je m'y suis pris un peu tard pour réserver, il n'y avait plus de table libre et nous nous sommes rabattus sur... Chimay !

Oui, je sais, nous y sommes encore allés le mois passé, mais la cuisine y est bonne et le Sancerre rouge excellent. Tradition oblige, à peine étions-nous engagés sur le ring que la loupiote annonciatrice de manque de pression dans le peneu (c'est pas une faute, c'est en exprès comme on dit ici) arrière droit s'est allumée, donc passage par une station service, ça commençait fort.

L'ennui c'est qu'avec Bruxelles sans voiture, il faut avoir quitté la ville avant neuf heures trente et n'y rentrer qu'après dix-neuf heures. Inutile de rentrer pile pour cette heure sinon vous tombez dans d'impressionnantes files de gusses qui ont calculé comme vous (éh oui : la journée sans voiture génère de charmants embouteillages).

Donc, après le repas et la deuxième promenade du chien nous avons réalisé une petite boucle touristique en Thiérache. Pris par une soudaine nostalgie, j'ai poussé jusque Petite-Chapelle, lieu de mes séjours en colonie de vacances. Je n'ai pas réussi à retrouver la petie gare des chemins de fer vicinaux, elle a dû être rasée pour faire place à un parc résidentiel.

Une fois de retour à l'abbaye de Scourmont pour une dernière promenade du clebs dans le bois et un petit pipi de ma moitié dans les toilettes de l'endroit (ça doit leur coûter un pont en PQ aux pauvres moines tous ces visiteurs), nous avons pris le chemin du retour. En sortant de Beaumont, un peu avant de prendre la route inverse de celle du matin qui traverse le patelin où habitaient mes frères et mes parents et célèbre pour sa distillerie (laquelle a déménagé tout en gardant son nom), mon épouse m'a déclaré "Tant qu'à faire dans la nostalgie, nous n'avons qu'à faire une boucle par Ville-sur-Haine, en plus ça aidera à être sûr de ne pas être de retour trop tôt".

Ville-sur-haine, c'est le village où j'ai passé ma vie de célibataire à partir de mes huit ans. Ça faisait une paie que nous n'y étions plus passés. Mais bon, nous n'avons fait que traverser...

Bon, ben tant qu'on y est, faudra peut-être programmer un saut à Montignies-sur Sambre, le patelin de ma naissance.


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