Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Entre nous
22 octobre 2023

Tiens, tiens...

 
Ça m'est venu hier en préparant le petit-déjeuner.

Pourquoi je ne vous en parle qu'aujourd'hui ? Ben, parce que le samedi, l'horaire est assez serré. Ça vous va comme explication ? Sinon, je détaille !

C'était pas vraiment un ver parce que je ne pouvais en fredonner que deux... vers. Disons un vermisseau (vermicelle au cas où ç'aurait été une femelle).

Le truc venait du fond des âges (ma jeunesse quoi...) c'était ceci :

Un petit souper aux chandelles,
Un petit souper tendre au coin du feu

Je ne me rappelais ni la suite du refrain ni la teneur et la mélodie des couplets. Pas plus que le nom de l'interprète d'ailleurs. Comme ça remontait de loin, je pensais que le dit interprète devait être un de ces semi-crooners français de l'immédiat après-guerre (et même avant), vous savez : genre "Vous, qui passez sans me voir..."

Alors, j'ai cherché ! Côté titre, j'étais pas loin : ça s'appelle "Le petit souper aux chandelles ".

Mais la mélodie des couplets n'était pas dans le style Jean Sablon. Et leur contenu dont je n'avais pas le moindre souvenir encore moins !

Bon ben je ne vais pas vous faire languir plus longtemps et... Vlan ! Zorro est arrivé !

Mais c'est surgi d'où  ce machin ? Surtout que j'ai déjà du mal à me rappeler où j'habite...


 

Publicité
Publicité
19 octobre 2023

Blog intérieur (extraits)

 
Je l'ai déjà dit : chaque jour, j'écris dans ma tête l'un ou l'autre billet pour mon blog intérieur. Billets qui, bien sûr, ne sont jamais transcrits sur ce blog-ci. Je suis une sorte d'Adrienne mentale...

Bien sûr, j'imagine que vous ne me croyez pas et j'ai donc décidé, une fois n'est pas coutume, qu'aujourd'hui j'allais trouver le temps (souvenez-vous que je suis retraité et donc débordé) de passer à la transcription de mes élucubrations du jour :

J'aurais pas dû rester quelques minutes de trop au lit après que mon réveil-radio ait démarré son verbiage quotidien. J'aurais pas dû parce qu'au infos de six heures (oui : depuis que je suis à la retraite, j'ai changé de réveil-radio mais pas d'heure de lever) on nous diffuse une nouvelle de première importance puisqu'elle est dans les infos : Maxime Leforestier a fait un malaise sur scène à Antibes !

Eh ben dis donc, ça nous change de Daesh ! Rassurez-vous : il va bien ! (Maxime hein, pas Daesh)

Du coup, nous avons eu droit à une petite chanson et c'est là que j'ai trouvé de quoi faire :

 

Primo :

"On choisit pas ses parents, on choisit pas sa famille"

Eh oui ! Toute naissance est une combinaison de hasard et de nécessité (ça me rappelle Monod et Teilhard de Chardin au temps où je faisais la fortune de la librairie Libris à l'avenue de la Toison d'Or, achetant tout et n'importe quoi, surtout n'importe quoi en fait, en dehors de quelques bouquins indispensables comme "La Mythologie" de  Dubout).

Un hasard parce qu'il est impossible de prévoir dans le troupeau de spermatozoïdes se ruant à l'assaut lequel sera élu par l'ovule tant convoité. (ça m'étonne que les bookmakers n'aient pas encore envisagé de prendre des paris là-dessus...)

Une nécessité : pas tant à cause d'un événtuel "désir d'enfant" qu'en raison d'un besoin pressant chez certains de s'envoyer en l'air. On nous entretient régulièrement dans des émissions radio ou télé de ce fameux "désir d'enfant", ça m'étonne toujours un peu. Bien que mon épouse et moi-même  nous sommes aussi inquiétés de la chose quand nous en avions déjà deux, d'enfants, pour finir par décider que nous n'en voulions pas. Enfin... plus !

Secundo :

"On choisit pas non plus les trottoirs de Manille
De Paris ou d'Alger pour apprendre à marcher"

Ouais, là-dedans, ce qui m'inspire, c'est Manille !

Ça me rappelle que j'avais une cousine (la fille de mon parrain) sensiblement plus jeune que moi qui se prénommait Anne, lisait le journal de Mickey (la honte pour une Belge) et des comics américains (genre "Mandrake" et "L'ombre qui marche", vous ne connaissez pas ? Vous en avez de la chance!). Pire : elle voulait grimper sur mes genoux pour que je lui fasse des bisous ! Pire encore : dès qu'on ne faisait pas ses quatre volontés, elle bloquait sa respiration et tombait dans les pommes (comme  Pépé dans Astérix chez les Ibères), elle appelait ça "se pâmer". Elle m'a fait le coup un jour où sa famille rendait visite à la mienne et où on  m'avait envoyé la promener dans le village. Souchon ne chantait pas encore  "Tarte ta gueule à la récré" mais je lui en ai quand même mis une! ça l'a vachement ressuscitée. Là, je passe sur ce que j'ai pris quand elle l'a raconté en rentrant à la maison.

Et Manille dans tout ça ? vous inquièterez-vous. Ben , la chère enfant a fini par émigrer aux Philippines et finalement en revenir en assez mauvais état. Il y a quelques années nous avons appris qu'elle se trouvait dans un "institut spécialisé" et depuis, nous sommes sans nouvelles.

Tertio :

Déjà, dès "Antibes", j'avais eu l'idée de vous parler de ce patelin célèbre à bien des points de vue, ne fût-ce que pour son festival de jazz, mais j'ai craint de vous lasser un peu (beaucoup, à la folie...). Mais je vous colle quand même un peu de musique ("Dans les rues d'Antibes" ça s'appelle) pour vous faire oublier Maxime...


 

18 octobre 2023

Travaux

 
Depuis environ deux semaines, l'appartement juste en dessous du nôtre est en travaux.

Les bruits de foreuses et autres marteaux-piqueurs semblent s'être tus ces  derniers jours. Mon épouse pense que les ouvriers ne trouvent plus rien à démolir.

Remarquez qu'ils ne nous ont pas pris par surprise : l'entrepreneur a garni l'ascenseur et le trajet de celui-ci à la porte d'entrée de solide papier blanc fixé par un adhésif rouge et s'est fendu d'un avis affiché dans l'ascenseur, avertissant des nuisances possibles et donnant même son numéro de portable en cas de problème(s). Les travaux seront terminés fin du mois.

Vous vous en battez bien sûr l'œil. Nous aussi d'ailleurs, ce sont les plaisirs des immeubles à appartements.

Ce qui est intéressant dans cet avis, c'est qu'il spécifie en passant le nom de la nouvelle propriétaire de l'endroit : Djejljan Dekjiroska.

Il me semble l'avoir aperçue en discussion (animée m'a-t-il semblé) avec son entrepreneur : une petite dame dans la trentaine, les cheveux d'un noir profond et la peau quasiment blanche, un peu comme notre Amélie nationale quand elle se déguise en geisha...

Ça ne m'aide pas beaucoup pour deviner son origine, et ça m'énerve !

Comment ? Interviewer la concierge ? Ce ne serait pas une mauvaise idée si quand je la rencontre je n'étais pas accompagné du chien qui est une chienne, laquelle aboie comme une forcenée sur elle si bien qu'elle ne comprend rien à ce que je dis...


 

 

9 octobre 2023

The Wall

 
Derrière la paroi nord de notre appartement, il y en a un autre. Un autre qui en est l'image symétrique par rapport à la dite paroi. Plus au nord encore, il s'en trouve un deuxième qui devrait être l'exacte réplique du nôtre (s'il n'y avait pas un petit couac à cause de la position différente de la cage d'ascenseur).

Ces deux appartements sont occupés par deux dames (chacun par une, donc) que nous voyons régulièrement converser accoudées à la rambarde de leur balcon.

Comme je trouvais cette attitude sympathique, un jour, j'ai dit à mon épouse "Nous devrions les inviter une fois (expression indispensable au langage bruxellois) ensemble."

Mon épouse a fini par le faire et hier à midi trente, comme convenu, elles ont débarqué.

"Je ferai une sorte de petit apéritif dînatoire comme on dit maintenant" leur avait spécifié ma moitié.

Je ne résiste pas au plaisir de vous détailler la conception toute personnelle qu'a mon épouse d'un "apéritif dînatoire" :

Radis
Tomates cerises
Filets de sprats fumés
Verrines de purée de betteraves rouges et truite fumée
Soupe de melon
Mini-tomates aux crevettes grises (pelées les tomates)
Œufs farcis
Salade de cabillaud
Salade de pommes de terre
Sauces cocktail, curry et tartare
Cake aux épinards
Rôti de porc (plus facile à obtenir sous forme pratique pour cuisson au lave-vaisselle) façon "vitello tonato"
Tartare de bœuf à l'italienne (tomates séchées, copeaux de parmesan)
Mousse au chocolat
Cake aux poires Durondeau

Mon épouse avait finalement abandonné l'idée d'y adjoindre des croque-monsieur miniatures et les deux mômes, dans un ensemble touchant, ont refusé le Gorgonzola et le Camembert.

Inutile de vous spécifier, je crois, que nous n'avons pas de problème pour  les repas des premiers jours de cette semaine...


 

4 octobre 2023

Trouver sa voix

 
Dans les commentaires de son blog, l'Adrienne nous parle aujourd'hui d' Ella (Fitzgerald, mais cette précision n'est-elle pas superfétatoire?). Mon épouse en remet directement une  couche en disant notre admiration pour cette chanteuse.

Ça m'a rappelé que pour trouver le sommeil, je fais parfois du classement dans mes souvenirs, genre "Quelle est la femme la plus étonnante  que j'ai eu l'occasion de fréquenter (y a de la concurrence...) ?" ou, en référence justement à Ella, "Quelle est la plus belle voix que j'ai entendue ?"

Généralement, je ne vais pas plus loin que la quatrième ou cinquième place parce que je m'endors très facilement, à mon coucher du moins...

Pour la dernière question, j'ai un petit problème : j'ai tendance à tomber sur des paires,  de femmes bien sûr : comme je cherche la perfection, je ne m'intéresse qu'aux voix féminines.

Côté "variétés", j'hésite entre Ella et Maurane et bien qu'étant un fondu de jazz j'aurais tendance à coller Maurane en tête pour cette petite et inimitable raucité ronronnante de sa voix et, de toute manière,  Maurane aussi a fait du jazz avec Charles Loos et Steeve Houben.

Côté "classique", j'hésite entre Cecilia Bartoli (quelle femme !) et Natalie Dessaix : une des rares chanteuses d'opéra que je comprends quand elles chantent en français.

Après ça, tous domaines confondus, je verrais bien Juliette Greco, mais généralement, comme je l'ai dit, je n'arrive pas jusque là...


 

Publicité
Publicité
1 octobre 2023

Yo !

 
Ça m'est revenu subitement à cause du décès de Lou Deprijck dont les funérailles se sont déroulées hier.

À moins que ce ne soit le retour après cinquante ans des matches Union saint-gilloise / Daring de Molenbeek chers à Bossemans et Coppenolle...

C'est le jour où Jean-Luc Fonck et le Grand Jojo s'étaient mis au hip-hop. Ceci simplement pour demander si mon neveu Joe connaissait cette collaboration typiquement bruxelloise du chef de bande de Sttellla avec le héro de "Chef un p'tit verre on a soif".

Accrochez-vous et... pardonnez-moi dans la foulée :


 

Publicité
Publicité
Newsletter
30 abonnés
Publicité
Entre nous
Visiteurs
Depuis la création 202 535
Entre nous
Derniers commentaires
Archives
Publicité