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Entre nous
31 décembre 2016

Eh bien, nous y (re)voilà !

 

Moi aussi ça m'énerve ! 

Enfin, surtout le côté bassement mercantile qui semble avoir pris le dessus sur tous les autres.

Parce qu'il y en a d'autres, un peu plus positifs et que l'on peut comprendre (même si l'on fait mine de s'en défendre).

Nous traînons nos misérables existences dans un monde cyclique, rythmé par les saisons et il est naturel de nous y référer ne fût-ce que pour mesurer le temps.

Bien sûr, nous pouvons nous contenter de constater le retour des choses sans nous sentir obligés de le fêter : c'est le clan de ceux qu'horripilent le côté festif obligatoire des anniversaires quels qu'ils soient.

Mais nous pouvons aussi voir ces événements comme une occasion de nous retrouver avec ceux qui nous sont proches, ce qui en soi est déjà une fête, non ? Alors, si l'une ou l'autre de ces occasions est assortie d'un zeste de tradition, où résiderait le mal ? Si le sapin ne m'est pas indispensable, il ne me dérange pas non plus.

À ce propos, la semaine dernière nous étions dans la maison de mon fils en Ardenne pour nous retrouver tous en famille. Ce que j'aime dans cette maison, c'est le contraste entre l'incomparable chaleur des poêles à bois et la fraîcheur des chambres non chauffées. Bon, il ne faisait pas glacial non plus, Agata, ma bru finement pétillante n'a même pas sorti les bouillottes.

C'était une réunion très réussie :

Louise et Emilie s'étaient chargées des amuse-gueules, vous aimez les religieuses à la crème de saumon et les macarons au foie gras vous ?

amuse gueules

Mon fils s'était occupé de la barbue, du pigeon et des vins. Il m'épate toujours, il est très doué pour la cuisine et bien qu'il ne disparaisse jamais très longtemps dans celle-ci, tout est toujours prêt dans les temps, cuisson parfaite et tout et tout (et je ne vous parle pas de sa cave).

Emilie, toujours elle, s'était chargée du dessert, c'est une vraie pro de la pâtisserie (que, comble, elle n'aime pas vraiment déguster) elle dit qu'en faire la détend.

P1000122

Bah, les fêtes, c'est pas si dramatique finalement...


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26 décembre 2016

Excusez-moi, ça m'a échappé

Ben ouais, je ne sais déjà plus comment ça m'est venu, mais dès que j'ai eu créé le blog, j'ai su que j'avais fait une erreur.

Et ça n'a pas raté : trois jours à peine et ça me fait déjà ch... !

 

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19 décembre 2016

C'est mon neveu qui a recommencé !

 

Dans un de ses billets que j'avais lu sans le commenter pour ne pas alourdir l'addition, mon neveu Joe se paie doucement la carafe de mon auteur favori.

Mais trop tard, le ver était de retour dans le fruit !

Aussi, c'est immédiatement à ce cher Marcel que j'ai pensé  en découvrant ce passage de Thomas Mann , hameçonné que je fus (comme on dit aujourd'hui) par les mots "de bonne heure" chers à l'individu en question :

"Il s'était pourtant de bonne heure rendu compte qu'il appartenait à une génération où était rare, non point le talent, mais le fonds de santé dont le talent a besoin pour s'épanouir."

Voilà qui explique bien des choses ! Manque d'épanouissement !

Remarquez, ça fait un moment que j'avais pressenti quelque chose de ce genre, je m'en étais d'ailleurs ouvert voici quelques années aux lecteurs du défi du samedi.

Comment ça, c'est moi le grand malade ?

Après tout, vous avez peut-être raison : voici quelques jours, mon épouse m'a emmené acheter son inmanquable sapin de Noël.

Elle a choisi un Nordmann qui a l'avantage de conserver très longtemps ses aiguilles, mais ne présente par contre pas l'odeur caractéristique des résineux.

Mais qu'à cela ne tienne : d'abord on l'installe dehors et ensuite je peux facilement compenser cette perte de senteur de sapin si j'en crois mon taux de créatinine.

 

sapin

 


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