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Entre nous
9 mai 2010

Quel cirque !

Hier, avait lieu la première partie du spectacle de l'école de cirque que fréquentent mes petites-filles.

La plus âgée débute la section trapèze. Avec une amie, elles ont monté un numéro combiné qui a été sélectionné pour le spectacle (payant) sous chapiteau. J'ai filmé ça avec mon appareil photo digital. C'est un brin sombre et flou à cause du peu de lumière ambiante. De plus, une fois que c'est lancé, il n'y a plus moyen de changer la focale de l'objectif.

Mais le supplice ne sera pas trop long et puis, il y a le bouton "stop", n'est-ce pas.

Je trouve que ce n'est pas trop mal au bout de quelques mois à raison d'une heure par semaine, même si l'on n'ose imaginer ce qu'une "enfant de la balle" réaliserait en comparaison au même âge en immersion totale dans ce monde du cirque.

Bah, ça ne m'empêchera jamais d'aimer ceux qui pratiquent une discipline en amateurs. Parce que dans amateur, il y a amour.

Allez, je vous laisse, aujourd'hui c'est la partie "portes ouvertes" du weekend, nous allons voir la deuxième dans ses exercices. Oui, d'accord, pas de "film" !


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7 mai 2010

Ah ces Belges !

À l'occasion de notre déménagement, nous avons résilié l'abonnement à notre hebdomadaire habituel, un brin agacés par des conflits entre sa direction et sa rédaction.

Depuis, pour disposer des programmes TV, nous achetons une revue dont le reste du contenu me semble assez "pipole" si vous voyez ce que je veux dire. Elle présente l'avantage d'être assez complète au niveau télé et assez bon marché.

Mais voilà-t-y pas que le numéro de cette semaine est assorti d'un autocollant prenant une position politique et que je ne résiste pas à vous montrer.

Belgium001

Les lecteurs sont sensés appliquer ça sur la lunette arrière de leur voiture. Je ne le ferai pas pour les raisons suivantes :

  • C'est la face arrière qui est collante, il faudrait donc le coller à l'extérieur où il aura bien du mal à résister à l'action combinée de la pluie et de l'essuie-glace.

  • Je ne crois pas que de trimballer cette menace sous le nez de mes voisins bruxellois soit de nature à faire avancer le schmilblick belgo-belge.

  • Les seuls à qui j'aurais à le dire sont les politichiens et je crains de ne pas en croiser beaucoup lors de mes déplacements.

  • Sur ma route vers l'Ombrie, les Lorrains et les Alsaciens vont se demander ce que je leur veux, quant aux Suisses du canton d'Uri et du Tessin et aux Italiens, ils ne comprendront même pas.

Dans son blog, Adrienne évoquait la question, pensant en faire le sujet de son défi de la semaine, mais elle aussi a renoncé : qu'est-ce qu'un Français et même une Française peut comprendre à notre folklore communautaro-linguistique, hein, dites-le moi !


1 mai 2010

Regrets tardifs

Hier, mon épouse me charge d'aller acheter de la litière pour le chat pendant qu'elle est chez son kiné.

Tandis que je roule vers le magasin ad hoc, j'écoute une émission sur les humoristes, avec les questions habituelles, vous savez : peut-on rire de tout etc...

Comme j'ai le temps, j'attends la fin de la chose (et de l'histoire de Pierre Kroll à qui un confrère français demandait "Vous y allez parfois fort avec votre roi, vous n'avez pas d'ennuis avec le Palais  ?" à quoi le dit Kroll avait répondu "Fort avec notre roi ? Nous ne l'avons pas encore décapité, nous !")

J'attendais donc dans ma voiture devant le magasin lorsqu'un individu vient tapoter à ma vitre et me fait comprendre par signes qu'il voudrait me parler. Je le vois venir mais entrouvre néanmoins ma portière.

Et là, gagné ! Laïus aussi classique qu'embrouillé où il est question de téléphone et de cinquante Cents.

Je ne pense pas à lui proposer d'utiliser mon portable juste pour voir sa tronche, c'est fou ce que je vieillis ! Et je lui résume donc, plongeant la main dans ma poche, ce que j'ai retenu de sa tirade hésitante : "Vous voulez cinquante Cents ?"

C'est là que j'ai vu qu'il avait des regrets, peut-être même des remords. Il a dû penser que pour une fois qu'il tombait sur un con, il aurait dû demander plus et a d'ailleurs tenté un "Oui, ou un Euro..."

Mais il est reparti avec ses cinquante Cents dans la direction opposée à celle où il indiquait lors de ses explications le prétendu poste téléphonique (lequel n'accepte que des cartes ou des jetons), ressassant sans doute le vers célèbre : "La peste soit de l'avarice et des avaricieux !"

50cents


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