Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Entre nous
30 janvier 2023

Pauvres hommes...

 
Au cours du souper dont je vous parlais hier, tandis que je m'intéresse au contenu de mon assiette, sur ma gauche les discussions vont bon train entre ces dames.

Le sujet du moment semble tourner autour des excès du politiquement correct et des outrances de quelques ultra-féministes...

Profitant d'une accalmie, j'ai glissé dans la conversation, l'air de rien, "Eh oui, au rythme où vont les choses, nous nous retrouverons un jour dans les rues à crier "Les hommes sont des femmes comme les autres !""

Non, j'ai même pas honte...


 

Publicité
Publicité
29 janvier 2023

Fiesta

 
Hier, à  La Villa, c'était souper pour l'atelier de peinture sur soie de mon épouse.

Ça s'est bien passé, merci !

À la fin de la manifestation, ces dames se rassemblent pour la photo de groupe (celle qui ornera la couverture du livre-photo immortalisant les moments chauds de l'année).

Je vieillis : je n'ai même pas emporté mon appareil photo, j'ai dû utiliser celui de mon épouse pour immortaliser leur groupe.

Quand j'ai terminé, un autre photographe veut en faire autant et j'en ai profité pour reprendre le groupe sous un autre angle, en stoemelings :

P1020708

Mouarf ! On dirait que c'est mon beau-fils qui officie, lui qui veut que tout le monde regarde bien vers l'objectif ! Mais, bien sûr, y en toujours un·e qui fait la sourde oreille !


 

 

28 janvier 2023

Eppur si muove !

 
Quand Galilée a déclaré "La terre se meut !",

ses contemporains se sont exclamé "La vache, il force sur la beuh !"


 

20 janvier 2023

Bon anniversaire !

 
Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de mon ami René, il l'a raté de peu : vendredi dernier nous assistions à sa crémation.

Vous savez comment s'organisent généralement ces cérémonies : petites évocations par les proches, musique de circonstance (encore que j'aie assisté à un de ces événements où l'on avait pu entendre "Combien pour ce Chien dans la Vitrine"), le tout accompagné de projection de photos.

C'est parmi celles-ci qu'est apparu subitement le regard bleu d'Arlette, sa première épouse, emportée beaucoup trop tôt par un cancer du sein.

Arlette ! C'est elle qui m'avait valu un de mes pires cauchemars !

De retour à la maison, le souvenir de cette photo me trottait dans la tête et a fini par m'évoquer cette chanson de Charles Trenet :

Je serais assez d'accord avec ce Charles.
Quoi ? Vous n'avez peut-être jamais vu le regard de ma copine Célestine ?

célestineoeil

Oui, je sais... copine, copine, c'est vrai que je pourrais (presque) être son père!
(Ce qui, au fond, ne me déplairait pas plus que ça d'ailleurs...)


 

8 janvier 2023

René

 
Quand je suis rentré du service militaire en janvier 65, ils m'ont collé dans les labos d'Arthur. C'est là que j'ai rencontré René.

Cinquante-huit ans donc que nous nous connaissions, cinquante-huit ans qu'il nous prédisait sa mort prochaine. Il vient juste de finir par avoir raison.

Nous avons travaillé ensemble. Nous avons joué au foot, au tennis, à la pétanque, au whist ensemble. Nous sommes sortis ensemble. Nous avons pris une grosse vingtaine de fois des vacances ensemble. Nous avons habité ensemble, dans le même immeuble. Nous étions de nos grands événements familiaux réciproques. Nous avons même eu quelques accidents de voiture ensemble (mais chacun dans la nôtre) c'est dire si nous étions proches.

En cinquante-huit ans, nous ne nous sommes pas disputés une seule fois.

Il faut dire que nous étions fait pour nous entendre : nous étions deux ours mal léchés. Côté physique, disons que nous nous complétions : lui un malabar, arrière infranchissable au foot, moi un petit véloce sur l'aile dans le même sport.

En dehors du règlement de détails pratiques, nous ne nous parlions guère : nous n'en avions pas besoin : nous savions. Nous savions qu'une indéfectible amitié nous liait, qu'au moindre couac, l'autre serait là. Et ça s'est toujours vérifié.

Ça va être bizarre la vie sans lui (donc sans "nous").

Mes petites-filles et leur "Voleur de chapeaux"
Mes petites-filles et leur "Voleur de chapeaux"


 

Publicité
Publicité
7 janvier 2023

Radio

 
Le temps qui sépare le moment où je m'éveille et celui où je me lève se passe en deux étapes : le silence du petit matin puis le son du révéil-radio.

Parfois, j'essaie de comprendre les paroles de certaines des chansons que le machin diffuse.

Dur, dur ! Entre les distorsions, les traitements électroniques, les voix éraillées ou faiblardes, le texte anglais émis par des chanteurs qui ne le sont pas plus que moi, anglais, le débit forcené des rappeurs...

Ça m'énerve !

Dire que j'ai connu une époque où on comprenait aisément les paroles d'une chanson !

Et ce matin, en tentant de retrouver une chanson sur les galipettes pour le prochain défi, je suis tombé sur ceci :

 

Jamais entendue avant, celle-là !

Sacré Jean-Luc, il ne s'aigrit pas !

Il ne maigrit pas non plus d'ailleurs...

Publicité
Publicité
Newsletter
30 abonnés
Publicité
Entre nous
Visiteurs
Depuis la création 202 557
Entre nous
Derniers commentaires
Archives
Publicité