JdJ 16

Depuis ma dernière intervention dans cette catégorie, j'ai négligé de vous parler des livres que j'avais lu, de crainte de vous lasser, ou de sembler "faire mon intéressant" (à Bruxelles, on dit "faire de son Jan"). Mais lorsque j'ai déballé ce cadeau de Noël et que j'ai lu le titre de la collection, le lien avec un des derniers billets de Papistache m'a décidé à vous signaler au moins celui-là :

Et voici l'extrait traditionnel :

Après, il se verse un verre et se rince la bouche.
Alors, je vois Ernesto descendre par l'escalier. Je le croyais encore dans les collines : je me dispose à monter aussi, mais Ernesto me retient : "Attendez, il est en train de lui donner l'onction."

Pour une fois, je ne mentirai pas en parlant de "sombre histoire". Même si elle se passe sous le soleil écrasant de la campagne italienne.

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Comments

[caro_carito]

J'aime bcp Pavese, beau et triste.

[Claude]

Bonjour,
oui c'est un livre sombre mais fantastique en même temps. Quelle écriture, quelle histoire ! Je ne me lasse pas de cet auteur.

Bonne année, et j'espère plein de billets sur vos livres !!

Claude

[Walrus]

C'est une histoire sombre et déprimante, Sandrine. Cela n'a rien d'étonnant lorsqu'on apprend qu'à 42 ans, l'auteur a mis fin à ses jours dans un hôtel de Turin, laissant sur sa table de chevet une dernière oeuvre : "La mort viendra et elle aura tes yeux".

[sandrine]

Une sombre histoire... Le titre est super bien choisi alors... Oui parce que le coq qui chante à quatre ou cinq heure du mat, je trouve que c'est un oiseau de mauvais augures... et je rêverai de le cuisiner à la bière et aux petits lardons le coq qui chante !

[Aude]

J'aime bien aussi découvrir les livres de cette manière.

[tilleul]

Ben oui, moi aussi, j'aime connaitre les lectures des autres... Tu diras si c'est bien?

[Valérie]

Pareil!
Faites péter les bouquins, Walrus!

[kloelle]

Tout pareil...D'autant que vous n'en parlez jamais pour n'en rien dire.

[joye]

Cela ne m'embête pas dans le moindre de lire ce qu'on lit. Pour emprunter au regretté Sam Levinson : Je ne peux pas vivre assez longtemps pour tout lire, je dois donc profiter des lectures des autres.

(dans la citation d'origine, il parlait des erreurs qu'on commet)

Alors, merci pour ce genre de billet, Walrus.