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3 septembre 2008

JdJ 12

livre012Désolé, c'est tout ce qu'il y a à la page 123 !


Edit du 7 septembre 2008

Bien sûr, suite à la dernière information, Kloelle a trouvé. C'est marrant comme un détail peut faire basculer les choses. C'est l'éternelle histoire du petit caillou qui empêche l'énooorme rocher de débouler dans la vallée.

N'empêche, si je ne l"avais pas lu avant, j'aurais été bien en peine d'identifier ce livre avec les mêmes indices. Mais je ne suis qu'un Belge bêta !

Couv012


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2 septembre 2008

Guerre totale

Je parcourais l'autre jour un billet de Joye, ou Iowagirl, c'est comme vous préférez.

J'ai connu une autre Joye sur Fllf. Ou c'était la même. C'est peu probable, ou alors, elle a bien changé ! Mais passons...

Dans ce billet donc, elle nous décrivait l'invasion de son genévrier par un parasite ainsi que sa méthode personnelle d'éradication. Elle devait être vachement remontée car elle paraphrasait même en italien parfait l'Inferno de Dante pour défier l'envahisseur.

Et là, une fois de plus, un curieux souvenir m'est revenu.

DoryphoresponteIl fut une année où l'invasion des doryphores creva le plafond des prévisions les plus alarmistes. La chose devait se dérouler au début des années cinquante. Le monde agricole était en proie à la panique la plus totale et même le gouvernement avait failli s'émouvoir, c'est vous dire ! Car la Belgique sans patates, c'est la Belgique sans frites et ça, c'est impensable.

Le Journal de Spirou lui-même se fendit d'une annonce de mobilisation générale. On y voyait un gamin en culottes courtes suspendu à un parachute et armé d'une Sten balayant de rafales des armées de doryphores (c'était l'immédiat après-guerre et l'imagerie militaire avait très bonne presse : même les cahiers distribués par l'Education Nationale étaient décorés des célèbres hydravions Catalina).

Et, effectivement, dès leur retour de l'école, les gamins se répandaient dans les champs de pommes de terre armés de ... vieilles boîtes à conserve, y collectant les larves oranges de ce coléoptère débraqué en Europe en même temps que les Américains lors de la première guerre mondiale. Les bestioles ramassées étaient ensuite brûlées dans un feu de branchages.  Et, le lendemain, c'était reparti. Vous voyez, Joye, que les méthodes d'éradication n'évoluent pas si vite que ça.

Aujourd'hui, on ne voit plus guère de doryphores, me semble-t-il.

Je crains qu'on ait subsitué à cet ennemi qui avait au moins l'élégance de ne pas se camoufler, de sournois pesticides cancérigènes. On n'arrête pas le progrès !


1 septembre 2008

Pseudo JdJ 11

Avant chaque départ en vacances, mon épouse ne manque jamais de me demander si j'emporte un (ou des) livre(s). Ma réponse est invariablement "Non". Je m'emm... en vacances et comme je veux le faire à fond, je n'emporte pas de livre. Si l'ennui devient intolérable, comme elle en emporte, elle, je lis un des siens ! Attention, je vous ai entendu murmurer "faux-cul"!

Cette année, je n'emporte donc rien, mais en passant au magasin Leclerc de Lannion acheter des cadeaux pour les cousines de mes petites-filles, je tombe sur le dernier opus de "La Folle" :

couv0011

 

L'auteure nous y narre l'histoire d'un mec résolument quelconque (un moment, j'ai même cru que c'était moi) qui entre brutalement dans la peau d'un agent secret puis dans celle d'un mécène de l'art contemporain (ça, ça me ressemble beaucoup moins) et qui finit par vivre princièrement au dessus de ses moyens avec l'assentiment tacite autant qu'apitoyé des banques.

Si son style est, comme toujours, irréprochable et son imagination jamais prise au dépourvu, l'invraisemblance de la plupart des situations m'a un brin agacé. Tant qu'à me faire conter une histoire de banque et de banquier, je préfère largement celle du Papistache. Il a la même imagination débridée et, bien que saugrenue, la situation qu'il dépeint n'a rien d'impensable.

Je lance donc à Amélie Nothomb un avertissement solennel : en dépit de tout le plaisir qu'elle a pu me donner jadis (sur le plan purement intellectuel bien sûr, je ne connais hélas cette charmante enfant ni des lèvres ni des dents), si elle nous en pond un autre du même tonneau, je cesse de me précipiter sur ses éditions originales comme un vulgaire fana de J.K. Rowling et j'attends la parution en Poche !

Non, mais !


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