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Entre nous

3 décembre 2024

Coïncidence malheureuse

La semaine dernière a vu l'anniversaire d'Émilie. Le repas célébrant cette circonstance avait été prévu dimanche et... il a bien eu lieu !

Notre fille nous avait préparé une de ces sessions "raclette" dont elle a le secret. Nous étions seize...

Quoi, les appareils ? Il y en avait quatre (on a éliminé le cinquième depuis l'an dernier où il faisait sauter le disjoncteur à tous les coups). Comme chacun comporte six places, ça faisait largement le compte, sauf que certains n'ont jamais assez de coupelles pour l'accomplissement de leurs cuissons parallèles Enfin , on s'arrangeait, d'ailleurs, personnellement je n'emploie qu'une seule de ces  petites poêles C'est toujours ça de gagné pour les autres.

Avant de passer aux choses sérieuses il y avait apéro : caïpirinha ou champagne (avec ou sans cassis) pour ceux qui n'aiment pas le citron. J'en ai vu un qui mélangeait les deux.

En amuse-gueule : tartare de thon, boudins (noir classique, blanc aux fines herbes, au curry, aux abricots, à la truffe), guacamole.

Entamons les cuissons...

Ceux qui connaissent notre fille ne seront pas étonnés mais je détaille quand même pour les autres. Outre quelques plats de salades variées qu'il ne fallait pas fristouiller, côté légumes à cuire il y avait :

  • des oignons 
  • des champignons
  • des chicons (endives pour les Français)
  • J'ai pas vu de tomates mais elles m'ont peut-être échappé

Côté poissonnerie :

  • grandes crevettes de Madagascar crues décortiquées
  • noix de Saint-Jacques
  • filets de rouget barbet ("salmonete" pour les Portugais)

Côté boucherie :

  • Porc noir de Bigorre
  • Agneau
  • Bœuf
  • Lapin
  • Veau (sous la mère)
  • Saucisses (trois variétés)
  • Lard de colonatta
  • Guanchale

Sauces :

  • Mayonnaise
  • Pomme-curry
  • Cocktail

Pommes vapeurs et pain bâtard

Beurre nature, à l'ail, aux fines herbes au piment d'Espelette

Bizarrement, il n'y avait que deux variétés de fromage raclette : un au lait de vache et un au lait de chèvre.

 

Émilie étant débordée n'avait pas réalisé de gâteau pour son anniversaire, alors, on a fabriqué de la pâte à crêpes,  lavé les poêles et chacun a cuit ses propres crêpes. En fin de cuisson on pouvait y déposer de la cassonade candi brune ou blonde ou (ma préférée) de la vergeoise (que les Belges appellent généralement "sucre gamin" parce que les paquets originels de la marque la plus répandue affichait l'image d'un petit garçon), verser une "clouche" d'alcool au choix (Armagnac, Cognac, Poire Williams, Rhum, Calva, Vieille Prune etc dommage, il n'y avait pas comme chez mon frère il y a longtemps de Curaçao bleu qui donne des crêpes vertes) et y bouter le feu (ce qui élimine la majeure partie de l'alcool).


Notre fils, lequel passe tout son temps libre dans les terres viticoles s'était chargé des vins : blanc de Loire nerveux et pour le rouge : un Morgon 2015 étonnant, les deux en magnums (parait que c'est mieux pour la conservation).

Le café, nous n'en avons pas pris : notre fille possède une de ces machines monstrueuses qui fabriquent n'importe quelle variante à partir de café en grains. Hélas, la variété de café qu'elle utilise ne nous plait pas trop.


En fin de soirée le constat est tombé : il restait de quoi faire un bis ! Pas grave, puisque tous les lundis nous passons la soirée chez elle.

 

Seul hic : ce lundi midi précisément je devais participer à un repas organisé comme chaque année par un ex-collègue et réunissant les membres anciens et actifs de la fraction "minérale" du département "analyse", un truc où je n'ai jamais œuvré, ce qui ne l'a pas empêché de m'y convier (faut dire qu'à la fin de ma carrière j'étais pour la moitié de mon temps responsable de l'assurance qualité pour l'analyse toute entière et que si je ne connaissais pas tout le monde, tout le monde me connaissait).

Là, nous étions quinze assis en rond (en carré plutôt). L'organisateur avait trouvé un moyen original pour que tout le monde puisse parler à tout le monde : à chaque changement de plat (5), on redistribuait les places à table ! Astucieux, hein ?


Si bien qu'à l'issue de ce machin, j'ai à peine eu le temps de souffler avant de repartir fristouiller sur la machine à raclette. Elle est parfois dure la vie de retraité !

 


 

 

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27 novembre 2024

Trois heures du matin

 

On sonne et tambourine sur l'huis (comme disait La Fontaine, lequel servait d'exemple au type de personnalité : non actif, non émotif, primaire, que m'avait attribué un test fait il y a longtemps dans un magazine féminin) de notre appartement. (ça c'est un truc pour allonger la sauce que j'ai trouvé chez Marcel).


Pas de panique : je sais qui c'est ! Je me lève et ouvre la porte : Bingo! c'est notre voisine de palier.

La fois précédente (à trois heures de l'après-midi) elle tenait à la main la partie mobile du téléphone de sa ligne fixe qui "ne fonctionne plus" selon elle. En fait elle en avait tellement tripoté les touches qu'elle avait réduit au minimum le volume de la sonnerie et, comme elle est un peu dure de la feuille...

L'antépénultième fois, c'était son GSM qui ne fonctionnait plus (et pour cause : elle avait épuisé son forfait).

Cette fois, c'est une alarme qui sonne dans son appartement et elle ne sait pas d'où ça vient et ... elle m'emmène dans sa chambre !

Ouais, je vous vois venir petits coquins, mais la môme a 92 ans et bien qu'elle soit un  peu plus grande que moi, elle fait tout de suite une trentaine de kilos et est emballée dans une robe de chambre malgré que partout dans son appart la température doit dépasser allègrement les 26°C.

En progressant dans le hall de nuit, elle s'exclame : "Ah, c'est fini !" preuve supplémentaire de ses insuffisances auditives puisque moi, je perçois le hurlement du coupable que je découvre sur le lit sous une pile d'oreillers et de coussins sans doute prélevés dans le salon.

Quand je soulève le tas, le machin, un truc en plastique jaune un peu plus grand qu'une boîte d'allumettes et muni d'une sorte de haut-parleur à membrane métallique, fait un boucan de tous les diables qui me vrille les tympans.  Le fond du boîtier est maintenu par deux petites vis à tête en croix et en dehors de ça, il y a une petite ouverture métallique que je prends pour un jack d'alimentation.

Bien sûr elle n'a jamais vu la chose qu'elle a découverte dans le tiroir de sa table de nuit et qui s'est mise en route dès qu'elle l'a prise en main.

Il me semble que prendre le temps de dévisser les fixations du fond me rendra plus sourd encore que la voisine. Et je redépose le truc sous sa pile de coussins et propose à la môme de lui filer un bon coup de marteau pour le faire taire (parfois j'aimerais bien aussi la faire taire, mais ma mère m'a interdit de frapper les dames). Elle acquiesce (quel merveilleux mot) et je retourne m'armer chez moi.

De retour, je pose le truc sur un gros marteau et tape vigoureusement dessus avec un plus petit, en vain : c'est à peine si je parviens à enlever un éclat de plastique, l'objet de mon défoulement doit être blindé et impossible d'essayer plus longtemps, on va réveiller tout l'immeuble !

Je repose le dit objet sous ses coussins et la voisine veut absolument me montrer où elle a pris l'instrument : je jette un œil dans le tiroir : rien...

En me retournant pour repartir, j'aperçois sur la place libre du lit un minuscule objet muni d'un petit anneau métallique : une goupille ! Je l'introduis à tâtons dans l'orifice de la sirène et paf ! Tout s'arrête... le machin est une alarme anti vol ou intrusion : on l'attache quelque part et on tend un fil entre l'anneau de la goupille et l'objet à protéger et, au moindre mouvement...  j'ai plus qu'à me lever !

 


 

25 novembre 2024

F17

 

Le dos de mon épouse se tasse de plus en plus, au point qu'elle a un peu de difficultés de niveau lorsqu'elle s'installe à table. Elle a donc cherché un siège plus approprié que les chaises d'origine. Et elle en a trouvé un !

Chez... Ikéa !

Ouais, inutile de vous exciter sur la filière d'acquisition du bois par la firme suédoise : le pied de la chose est métallique et l'assise en plastique, alors...

Nous décidons donc samedi dernier, trente mille trois cent quarante-septième jour de mon existence, d'aller en chercher un au magasin d'Anderlecht.

Comme nous sommes prudents, avant le départ nous allons faire un petit pipi, moi au WC, mon épouse à la salle de bain... d'où elle ressort en m'annonçant que le lave-linge s'est arrêté et affiche une alarme "F17".

L'intéressée possède heureusement un traducteur ad hoc et signale que l'auto-test annonce un bouchage au moins partiel de l'arrivée d'eau ou du tuyau d'évacuation..

Bien évidemment, les deux systèmes se situent à l'arrière de la machine. Il est illusoire de penser que j'aurais pu écarter la machine du mur d'autant que le sèche-linge à pompe à chaleur est déposé dessus.

Il m'a donc fallu opérer dans cet espace réduit.

Vous avez déjà eu affaire à un (ancien) robinet ouvert en grand depuis six ans : il suinte toujours un peu d'eau (calcaire) par le presse-étoupe, ce qui crée un dépôt de tartre autour de l'axe du robinet. J'ai donc dû opérer avec une pince-crocodile dans cet espace réduit, ce qui limite à un ou deux centimètres les mouvements de la pince. Comme pour ce faire j'étais agenouillé sur l'abattant (rabattu) du wc, pendant les manipulations, mon coude déclenchait de temps en temps le mécanisme de la chasse d'eau (bon, nous n'avons perdu que le contenu d'une chasse, vu que pour intervenir, il avait bien sûr fallu couper l'alimentation générale sous peine d'inonder la salle de bain).

Une fois tout démonté, pas de trace de bouchage.

Je me suis alors penché sur l'évacuation : les quatre mètres de longueur du furet sont entrés sans problème dans le raccord vers l'évacuation des eaux usées.

Il me restait à ouvrir la chambre de la pompe de vidange de la lessiveuse : rien !

J'ai tout remonté et le signal F17 a disparu !

Mon épouse a lancé la vidange de la machine : aucun problème, pompage rapide et vidange totale de la cuve. Elle a alors relancé la lessive et tout a fonctionné normalement.
 

Reste un problème non résolu : pourquoi diable l'alarme s'est-elle déclenchée pour rien ?

Y a des cours du soir en domotique ?

Quoi ? J'en ai bien suivis en algorithmique et langages Pascal et C, alors...

Ouais, ça date ! On a l'âge qu'on peut hein...
 

Bref, avec tout ça et les travaux sur le ring, nous sommes arrivés chez Ikéa à onze heures, un samedi, je vous dis pas le souk !

 


 

15 novembre 2024

Inflation

 

J'ai fini par avoir raison !

Ça fait des années que je payais les croissants 1.10€ à la boulangerie de la Ferme Nos Pilifs, ce qui était un prix fort raisonnable (pour la Belgique). J'ai commencé à me dire qu'à ce rythme, ils couraient vers la faillite...

Ce matin, 1.5€... 

Zut, ils m'ont entendu !

Ça fait quand même 36,36363636 (et je vous fais grâce des décimales supplémentaires) % d'inflation.

 


 

12 novembre 2024

Chanson d'un autre "temps"

 


 

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10 novembre 2024

Tout ça, c'est la faute à Maria !

 

Maria, c'est la charmante petite dame portugaise (garantie d'origine) qui vient chaque jeudi matin entretenir l'appartement, faire le repassage (au fer) et la conversation (à mon épouse). Moi c'est le moment où je fais les courses hebdromadaires.
 

Ce qui l'inquiétait cette semaine, Maria, c'était la neige. Comment fait-on sous nos latitudes (ben oui, c'est le nooord) pour survivre à ce phénomène ?
 

Il n'en fallait pas plus à mon épouse pour aller lui déterrer quelques photos (et de ratisser un peu plus large dans son passé) :

 

Photo du phénomène (je parle de la neige, hein !)
 

Réaction : "Moi, même pas froid !"

Tant qu'elle y était, elle a aussi fourni un résumé de se diverses activités :
 

  • Nain de jardin

     

  • Blackface

     

  • Camionneuse

     

  • Krollekop

     

  • Cowgirl

     

Si ses activités vous passionnent, je peux vous en retrouver quelques unes qu'elle a oubliées...

 

Le pire, c'est que tant qu'à faire, elle m'a aussi entraîné dans la démonstration :

Sur la photo du dessus, nous sommes accompagnés de nos mères respectives et sur celle du dessous la banane de rocker, c'est celle de mon frère, la mienne, Dieu merci, avait disparu entretemps.

Et rassurez-vous, elle en a de plus anciennes encore de nous deux...
 

N'empêche que depuis, il me semble que Maria me jette discrètement des regards en coin (-coin) !

Ça, c'est l'effet banane, je hais les rockers (around the clock) !

 


 

5 novembre 2024

Question que je livre à votre sagacité :

 

Y a-t-il une différence entre :
 

"C'est pas vraiment le moment"


et


"C'est vraiment pas le moment"


Remarquez que personnellement, je m'en fous, de toute façon, c'est jamais le moment, alors...

 


 

31 octobre 2024

Miracle !

 

Ce vendredi, mon taxi est libre (pour l'instant) !
 

Pas parce que c'est la Toussaint, mais parce que notre "deuxième fille", la marraine d'Émilie et son mari, le parrain de Louise (beau tir groupé), les ont emmenées pour quatre jours au Portugal voir la maison (un petit truc avec piscine) qu'ils y ont fait construire dans un coin perdu (Cascais  Estoril).

Ils voulaient aussi emmener notre fille, mais elle a décliné : elle n'aime pas l'avion (comprenez qu'ils lui filent la pétoche, grande gueule mais petite nature).
 

Ben oui, le parrain de Louise est Portugais et se prénomme... Luis, évidemment !

Pour faire avancer un peu les travaux (je ne pose aucun jugement sur l'efficacité des travailleurs portugais, lui je ne sais pas, mais j'imagine), il est parti très régulièrement faire du télétravail sur place (facile : il travaille dans les transferts interbancaires et autres joyeusetés, alors, ici ou là-bas, hein, du moment qu'il a un bon accès réseau...).


Non, pas de photos ! Elles sont sur le smartphone de mon épouse et j'ai déjà assez de problèmes avec le mien !

 


 

25 octobre 2024

Étrange...

  

L'autre jour, en voiture, j'entends un truc que je n'avais jamais entendu de ma vie : je n'en ai pas cru mes oreilles : une œuvre de Johann Georg Albrechtsberger (un des maîtres de Beethoven), un concerto pour... guimbarde ! 

 

 

Par la même occasion, j'ai appris que guimbarde (le sobriquet de mon grand-père maternel, en liégeois "Lu Guèw") s'appelait en anglais "harpe juive" et en allemand "tambour de bouche".
 

Marrant, j'en ai joué quand j'étais chef d'Unité chez les scouts, c'était le seul instrument à ma portée... 😁

 


 

 

24 octobre 2024

Charmante journée !

 

Aujourd’hui je devais :

Aller faire courir le chien qui est une chienne : c’est fait !

Faire les courses hebdomadaires : c’est fait !

Passer chez Marlies ma pharmacienne préférée (et par ailleurs unique) : c’est fait !

Aller faire nettoyer la voiture parce que demain c’est entretien et vendredi c’est contrôle technique : c’est fait !

On pourrait penser qu’après tout ça je devrais être heureux, satisfait : pas du tout !

Profitant d’un moment d’inattention de ma part, Proximus en a profité pour se payer une panne de réseau. Une panne de réseau c’est facilement détectable : si votre télé s’arrête et que dans les trente secondes la voisine de palier vient sonner à votre porte pour savoir si votre télé fonctionne : c’est la panne !

Au moment où j’écris ces mots (dans Word puisqu’il n’y a plus de connexion internet) ça fait quatre heures que la chose dure. Contacté via smartphone par mes soins, le robot tchateur femelle de Proximus me confirme qu’ils sont au fait de la chose et que leurs équipes s’activent dur pour résoudre le problème (tu parles ! je les connais leurs équipes : deux qui regardent (pour se former sans doute) et un qui travaille !)

Depuis le début de la panne j’ai eu le temps de faire nettoyer la voiture  intérieur et extérieur à Grimbergen, de m’y faire interviewer par une brave dame armée d’une cigarette et d’une cannette de Gordon Finest Titanium (50cl 14°) qui a fini par me demander quand j’ai récupéré la voiture si je n’allais pas par hasard en direction de Vilvorde.

J’ai répondu que oui mais qu’aux premiers feux de circulation je prenais à droite en direction de Neder-over-Heembeek. Ça l’a fort désappointée parce qu’elle devait se rendre à la gare de Vilvoorde (version locale de Vilvorde) et que les bus De Lijn…. J’ai poussé la délicatesse jusqu’à ne pas lui faire remarquer que ce n’était pas en fumant et buvant dans le parking du Delhaize où se situe le « carwash » qu’elle risquait d’attraper un bus qu’il soit de De Lijn ou d’une autre société et je lui ai déclaré que j’allais la déposer devant sa station.

Ça n’a pas été de la tarte de lui mettre sa ceinture de sécurité : mon épouse utilise un triangle qui abaisse la fraction remontante de la chose pour, comme elle est (de plus en plus) petite, éviter qu’elle l’étrangle, et d’autre part, je crains fort que les nettoyeurs de bagnole n’aient un brin torsadé la chose.

Durant le trajet, j’ai tout appris (ou presque) d’elle :

Que sa mère habitait une grosse maison blanche qu’elle m’a désignée dans le premier hameau traversé, mais qu’elle ne pouvait plus y aller à cause de son frère, cet enfant de salaud ! Qu’elle avait vécu six ans dans la rue, qu’elle avait une fille de trois ans confiée à une dame qui lui apprenait quatre langues en parallèle au moyen de clefs USB dans sa Mercédès blanche. Qu’elle s’était fait tabasser par huit noirs (tous des macaques) qui avaient voulu la taillader. Qu’elle vivait chez son oncle où elle allait se rende en train… Distrait par son verbiage continu, j’ai raté un panneau de déviation dans les travaux sur le pont de Vilvorde et je me suis retrouvé le long du canal de Willebroek et j’ai dû faire demi-tour et remonter sur le pont en faisant le tour du rond-point où nous étions passés quelques minutes plus tôt. Avant d’arriver à la gare j’ai encore appris qu’elle se prénommait Maïtè (pas Maïté) qu’elle croyait en Dieu, que je n’avais pas une tête à y croire beaucoup de mon côté, elle m’a quand même confié à Sa garde et m’a fait la bise sans me demander mon avis en débarquant après que j’aie refusé de noter son numéro de téléphone.

Après ça, j’ai essayé de me sortir d’un Vilvorde (tiens, c’est mâle ou femelle ce machin là ?) que je ne reconnaissais plus tant il (ou elle) avait changé depuis le temps où j’y avais disputé un tournoi de squash avec mon fils et mon ami Jean contre des mecs de chez Levis (les peintures, pas les frocs) ou que j’y étais allé avec les gars de mon labo manger du steak de cheval « Bij dikke Tetten » un resto tenu par une dame à la poitrine avantageuse.

Et pendant ce temps, le réseau est toujours « off », je me demande bien quand je vais pouvoir vous faire part de mes aventures…

Non ! J’essaie pas avec mon smartphone !

 

PS : oui, je sais, finalement, l'aujourd'hui du texte, c'est hier ! Mais c'est pas ma faute si le réseau n'a été rétabli que cette nuit...

 

 

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