Concours (ou con tout court)
Mardi soir (oui, je sais, je ne suis pas très vite sur la balle, mais j'ai pas que ça à foutre), à la télé, c'était la finale de The Voice Belgique. En réalité, ce concours s'adressait à la Communauté Française de Belgique*, pas à toute la Belgique.
Quatre candidat·e·s restaient en lice :
Dans les méandres de l'écriture inclusive serait-il pensable de dire dans le cas présent "deux blanches et deux noir·e·s" ? (Répondez via les commentaires, je n'ai pas encore implémenté de système de vote, mais j'y travaille).
Le monde de la musique, pour échapper à l'image raciste qui lui colle à la peau depuis qu'il enseigne à tout va qu'une blanche vaut deux noires, s'est empressé d'élire comme voix de l'année le candidat de couleur.
Sans remarquer, semble-t-il, qu'il n'échappera pas pour autant à l'accusation de sexisme puisqu'il a choisi l'unique représentant mâle plutôt qu'une des trois filles. Il y avait pourtant une solution idéale...
Je l'ai toujours dit : trop de précipitation nuit (noire) !
* Ils auraient dû dire "Communauté Francophone de Belgique", mais ce sont des Belges, leur français n'est qu'approximatif. De toute façon, aujourd'hui, ils l'ont rebaptisée "Fédération Wallonie-Bruxelles", ce qui n'est pas plus correct puisqu'elle n'englobe pas les néerlandophones de la capitale. Mais si c'était simple, ce ne serait pas belge.