22 février 2013
Y a pas que Mozart qu'on assassine...
Je sers de coursier entre l'atelier de peinture sur soie de mon épouse et la petite dame qui assure la fixation des œuvres du dit atelier.
C'est pour cette raison que je me trouvais ce matin dans le tram 3. Cette ligne utilise des véhicules articulés de longueur respectable. Voilà pourquoi je n'ai pas aperçu le musicien de rue (sans doute réfugié dans le tramway en raison du vent glacial qui souffle aujourd'hui sur la ville), ce qui ne m'a, hélas trois fois hélas, pas empêché de l'entendre.
J'ai fini par reconnaître l'air qu'il interprétait et c'est là que je me suis posé la question : pourquoi cet acharnement aussi morbide que malsain à assassiner des feuilles déjà mortes ?
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