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Entre nous
31 juillet 2008

Le coup du lapin

Après la mort, à plus de vingt ans, de Spoutnik (le dernière petite chatte ayant vécu chez ma fille), une de mes petites-filles voulait avoir un chien. Raison pour laquelle son père lui acheta un couple de lapins-nains. Cela se passait en mai de l'an passé.

Mon épouse, devant l'attendrissement du père (insensible à la déception de sa fille), fait remarquer qu'un couple de lapins risque de se transformer rapidement en bataillon de lagomorphes.

V_nusCe qui, soit dit en passant, me rappelle subitement ce film "Deux nigauds chez Vénus" avec Budd Abbott et Lou Costelo. Dans ce film, un des héros devient le prince consort de la reine de l'endroit (en l'occurrence la planète Mars), planète peuplée exclusivement de pin-up. Il demande discrètement si son rang ne lui donnerait pas droit à une garde du corps. Réponse de la reine : "Non, très cher, avec vous une garde du corps deviendrait vite un corps de garde !"

Revenons à nos lapins ! Questionné sur les raisons du choix d'un couple, l'intéressé déclare que c'est que pour les filles puissent voir "une fois" (il est pourtant breton, pas bruxellois) comment ça se passe. Pendant deux mois, il ne s'est rien passé du tout, question de maturité sexuelle, j'imagine.

Ça ne fait rien, après, ils se sont rattrapés ! Je peux vous garantir que les lapins n'ont pas usurpé leur réputation ! À raison de portées de six, environ toutes les six semaines, ça fait du peuple à grandes oreilles !

L'animalerie reprend les jeunes une fois qu'ils sont sevrés et peuvent se nourrir seuls. Ce qui arrange bien l'éleveur de lapins, mais chagrine à chaque fois les enfants qui doivent se séparer des bestioles au moment où celles-ci sont les plus sympathiques.

Au démarrage, le couple fut installé dans une construction en bois avec une première chambre-mangeoire et une seconde isolée, garnie de paille et accessible via un tube-galerie. Cette construction étant elle-même déposée dans un enclos grillagé et protégé par un toit en auvent.

Dès après la deuxième mise bas, les lapins se sont mis à creuser le sol. Mon épouse s'en inquiétant, notre beau-fils la rassura, il avait enterré un film d'étanchéité.

Dans le but de calmer la prolifération, l'éleveur décida de séparer le mâle. Il lui fabriqua sa propre maison qu'il sépara de l'initiale par un grillage. Deux jours plus tard, le mâle copulait joyeusement, il avait creusé un tunnel sous la grille.

Au bout d'un an, on a enfin fait castrer le mâle, et dès le lendemain du départ des filles pour la Bretagne, nous avons vu surgir du terrier les six membres de ce que nous espérons être la dernière portée.

Avant son départ, notre beau-fils a déposé sur le sol un plancher de chantier (il travaille dans le bâtiment) pour éviter que nous fassions s'effondrer les galeries. Depuis, chaque matin, ce plancher est couvert de quatre centimètres de terre que j'enlève à la pelle pour déterrer l'abreuvoir.

Je me demande jusqu'où ils vont creuser... si vous lisez dans le journal qu'un volcan a surgi en pleine agglomération bruxelloise, vous saurez la faute à qui !

Lapins3


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29 juillet 2008

JdJ 9

Je vous écris cela tout de suite, mais j'attendrai le retour de Janeczka pour le publier et son feu vert pour donner la réponse (à moins que quelqu'un d'autre ne trouve entre-temps, bien entendu).

Bien ! Dans la série (c'est un indice) de la pile de lectures en attente de mon épouse :

Livre0009

Solution, premier août :

Couv0009


26 juillet 2008

C'est aujourd'hui !

Mariage3


C'est aujourd'hui qu'Val se mariii i e,
Son jour de gloire est arrivé !
Nichée au sein de sa famille,
Au cœur d'un Perche ensoleillé (?)
Au cœur d'un Perche ensoleillé (?)
Entendez-vous dans la campagne
Gazouiller les merles moqueurs ?
Qui viennent célébrer en chœur
Manu et sa jolie compagne.
Voyez comme ils sont beaux !
Voyez comme ils sont bien !
Chantons,
Chantons,
Qu'un bonheur pur
Inonde leur futur !

 

Pom popom.

Bel exemple de licence poétique, Météo-France ne semble pas tout à fait d'accord avec moi en ce qui concerne le Perche ensoleillé. Mais tout espoir n'est pas perdu, il existe des micro-climats !

Je me serais bien fendu de l'un ou l'autre couplet supplémentaire pour vous dire Papistache et Mamoune les attendant devant la mairie et mitraillant à tour de bras (avec un appareil photo, bien sûr, qu'alliez-vous donc penser). Mais bon, je me suis suffisamment ridiculisé comme çà ! Ce serait même le moment de citer mon auteur favori : "Avec ma p'tite chanson j'avais l'air d'un con, ma mère ..."

Pour la mélodie, tout le monde aura reconnu la Brabançonne (version Leterme évidemment).

Mariage4


24 juillet 2008

JdJ 8

Je n'ai pas de petite histoire à vous raconter à propos de celui-ci. Si ce n'est que les affamés de cinéma ou de télé seront peut-être avantagés.

Janeczka va-t-elle enfin gagner à son propre jeu ?

Livre0008

Solution, 26 juillet

Je vois que tout cela ne passionne guère de monde, ou que vous imaginez moins vite que je ne lis. Je crois que je vais m'arrêter, d'ailleurs ma PAL est vide, je suis en train de lire celle de mon épouse...

Couv0008


21 juillet 2008

JdJ 7

Premier tome de Millenium terminé. Je me tâte pour le deuxième, il y a parfois beaucoup de détails superfétatoires. Je verrai. Comme je devrai malgré tout acheter quelque-chose chez Belgique-loisirs un de ces jours...

Que je vous raconte ! Il y a bien des années, un représentant de cette firme (la branche belge de France-Loisirs) vient, en notre absence, présenter les avantages de leur maison. Notre fille avait alors dix-huit ans et son frère pas. Ce même frère trouve que ce serait chouette à cause des BD et convainc sa soeur de signer.

Première échéance, comme il n'a rien acheté, nous recevons la "sélection de la période". Mon fils dit qu'il a oublié de commander, ma fille dit que c'est son frère qui l'a obligée à signer. Bref, depuis plus de vingt ans, c'est nous qui passons en temps utile chez Belgique-Loisirs acheter les bouquins nécessaires à éviter l'envoi de la fameuse sélection. C'est pas compliqué, nous y allons en sortant de la FNAC !

Un jour, j'ai fait une tentative. Je passe devant leur stand à la Foire du Livre. L'inénarrable Coffe parade sur le stand, cigare au bec. Une hôtesse se précipite vers moi "Ne seriez-vous pas intéressé par notre proposition ?" Je lui renvoie du tac au tac "Moi, ce qui m'intéresserait plutôt, ce serait d'en sortir !"

Tronche hilare de Coffe, sourire pincé de la donzelle "Nous ne sommes pas une prison, il suffit d'un recommandé !"

Nous avons toujours la carte de notre fille, voilà pourquoi je lirai peut-être Millenium 2.

Après cette digression revigorante, passons au jeu de Janeczka. Voici l'extrait :

Livre0007

C'est de moins en moins net, hein ? Bonne chance malgré tout...

Ajout 23 juillet :

Bon, comme j'ai terminé le bouquin hier soir et que le sujet ne semble inspirer personne, je donne la solution. Il s'agit  d'un roman avec action et rebondissements, bien dans la ligne du genre sur base de recherche d'une des plus vieilles utopies ou chimères poursuivies par l'humanité : l'immortalité ! Highlander pas mort...

Couv0007



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19 juillet 2008

Respirons !

Je romps le silence après une semaine. Mais mes phrases seront brèves. J'ai le souffle un peu court après une semaine avec nos petites-filles à la maison. Enfin, maison... appartement !

Lundi, jardin botanique national (plus pour longtemps, je le crains).

Bota

Mardi, parc Paradisio.

Chine

Mercredi, Technopolis.

Techno

Jeudi, bricolages, colliers et émaux.

Vendredi, natation, resto et rebricolage.

Aujourd'hui, dîner à la maison avec leurs parents.

Et lundi, elles partent en Bretagne ! J'ai une pensée émue pour nos pendants français... Qui ne sont d'ailleurs pas sauvés : le 17 août, nous partons remplacer les parents pour que ces grands-parents  bretons puissent eux aussi "profiter" une dizaine de jours supplémentaires de leurs petites-filles !


13 juillet 2008

JdJ 6

Bon, pour la longueur de l'extrait, voyez la méthode J.

Il contient malgré tout un nom propre, ça devrait aider. Moi aussi je vous aide : l'auteur est décédé.

Pour la couleur de l'extrait, j'ai remplacé le scanner par l'appareil photo, ça détériore moins le livre, mais je n'ai pas trop soigné l'éclairage, doù le fond grisâtre. Bah, c'est peut-être un roman noir !

Vous aurez un peu plus de temps car, autre indication, c'est une brique...

Livre0006

La récréation est terminée, Kloelle a trouvé !

Couv0006


13 juillet 2008

The Passers-by

À la radio, ce matin, un mec chante un truc qui m'accroche l'oreille. Émergeant des brumes du sommeil , recouvré après que le chat m'ait tiré du lit vers cinq heures pour me réclamer sa pitance, j'ai un peu de mal à identifier. Et puis, ça fait "Tilt" (chez nous, on disait "mon franc est tombé", mais depuis l'euro...)

Brassens... Kloelle... Les Passantes !    ... Mais en anglais.

Comme j'ai pris le truc en route, je n'ai pas entendu la voix suave de la présentatrice décliner l'identité du chanteur. Qu'importe, le temps de petit-déjeuner et un coup de Google, un !  "brassens les passantes adaptation anglaise". Autant parler en minuscules à Google, la politesse et les majuscules, il s'en bat de toute façon. Et il me renvoie à Graeme Allwright, en 85 dis donc !

Comme je n'ai pas reconnu sa voix (je suis assez âgé pour avoir tâté de la sacrée bouteille avec lui, sans compter la mise en petites boîtes) mais que cette première recherche m'a donné le titre anglais de la chanson, j'insiste.

Jehro ! De son vrai nom Jérôme Cotta, un mec de Marseille au parcours entre brume et tumulte, chante Brassens... en anglais sur un rythme plutôt Reggae.

Voilà, nul n'est prophète en son pays, même pas Georges !

Remarquez, moi je m'en fous, je suis belge, de un, et, de deux, c'est un peu Kloelle qui m'a réveillé et après une semaine de pluie, c'est grand soleil, ici !

Soleil2


12 juillet 2008

Vive la mariée !

Mariage2En parcourant le blog de Val et ses aventures pré-convolantes, une petite histoire m'est revenue...

Lorsque nous étions encore très jeunes, très très cons et très très très méchants, un de nos collègues, appelons-le Dupont, d'ailleurs je crois que c'était son nom, épouse une demoiselle. À l'époque, ça se faisait beaucoup d'épouser des personnes du sexe opposé.

Le jour de la cérémonie, nous l'attendons à la sortie de l'église du patelin de la mariée et tandis que nous balançons du riz à tour de bras (aujourd'hui, avec la montée du prix des denrées alimentaires, on y regarderait à deux fois), nous poussons discrètement vers lui le fils de l'un d'entre nous.

Nous avions soigneusement drillé le gosse âgé d'environ deux ans et il s'accroche au pantalon à rayures du marié en criant "Papa ! Papa !"

Croyez-moi, ou pas, ça a jeté comme un froid ! Je crois même que nous étions les seuls à rire et notre copain, retour de voyage de noces, nous a fait la gueule quelques jours. Quel râleur !

Malheureusement, je n'ai pas pour l'instant d'acteur en culottes courtes sous la main, La Rochelle est à huit cent kilomètres et Val va être sur ses gardes, maintenant !


11 juillet 2008

Un peu comme ça, Kloelle ?


Lapins2


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